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jeudi 14 janvier 2016

She wouldn't have been anywhere but London

Je suis toujours dans The secret keeper de Kate Morton et je suis de plus en plus sous le charme. Dans ce deuxième tiers, nous suivons presqu'exclusivement la vie de Dorothy à Londres en plein blitz. Elle occupe un poste de dame de compagnie auprès d'une Lady âgée dont la maison a été en partie réquisitionnée pour héberger des jeunes filles travaillant pour le service de guerre. Suivre le quotidien de Dolly, ses amour et amitiés et la voir faire des projets de vie dans un Londres sous les bombes est une vraie leçon d'optimisme et de courage. On découvre également un peu plus sa personnalité très particulière et ambigüe.


Nous faisons aussi la connaissance de son prétendant, Jimmy. Un charmant jeune homme passionné de photographie qui, en plus de sa participation à l'effort de guerre, use de toutes ses ressources pour s'occuper de son père qui n'a plus toute sa tête. On s'attache énormément à tous ces personnages et il est difficile de reposer le livre sans un pincement au coeur.


Je vous laisse avec un court passage :
In the beginning, Dolly had been afraid of the bombs like everybody else, but lately she found she rather liked being out in the Blitz (...) There was just something utterly invigorating about it, and Dolly experienced a curious lightness of heart, a feeling very like elation, as she scurried along the night-time streets. She wouldn't have been anywhere but London; this was life, this Blitz, nothing like it had ever happened before, and likely it never would again. 
Je termine ce billet par une pensée pour Alan Rickman. Comme beaucoup, j'ai été choquée d'apprendre la triste nouvelle... He will be missed. RIP.

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